Evaluation du degré d’inconfort dans les espaces publics extérieurs soumis aux effets aérodynamiques des bâtiments.
dc.contributor.author | MESTOUL, Djamel | |
dc.contributor.author | BENSALEM,Rafik [Rapporteur] | |
dc.date.accessioned | 2025-05-14T13:27:04Z | |
dc.date.issued | 2010 | |
dc.description | Thèse d Magister, Architecture et Environnement, Ecole Polytechnique d'Architecture et d'Urbanisme | |
dc.description.abstract | Notre présente recherche porte sur l’étude de la gêne liée aux conditions aérauliques dans les espaces publics extérieurs. En particulier, la gêne mécanique résultante des manifestations aérodynamiques des bâtiments et son impact sur le niveau de perception et d’évaluation de l’espace public extérieur, ainsi que de son degré d’usage. La réduction de l’inconfort mécanique dû aux conditions aérauliques dans les espaces publics est réduite aujourd’hui à l’application des deux critères qui concernent le seuil de vitesse limite (5m/s en générale) et la fréquence d’usage définie en pourcentage (%) ou en nombre d’heures par an. Ces deux critères sont considérés comme étant suffisants pour définir le degré minimal du confort aéraulique en espace extérieur. Or, notre présente recherche met l’accent sur l’importance d’autres facteurs qui agissent d’une manière synchrone dans l’appréciation du confort aéraulique en espace public extérieur. Ces facteurs sont tantôt d’ordre objectif, liés à l’environnement physique, tantôt d’ordre subjectif, liés à l’usager de cet environnement. La prise en compte de la somme de ces facteurs dans l’étude de la relation usager/confort aéraulique/espace public extérieur semble être d’une grande importance pour mieux appréhender le niveau d’appréciation et du degré d’usage d’un espace donné. L’approche méthodologique que nous avons adopté, combine, à la fois des mesures in-situ des paramètres climatiques pertinents (vent, température et humidité) et d’enquêtes auprès des usagers. A travers la somme de ces deux outils d’investigation nous avons visé deux objectifs bien précis : - Notre premier objectif était de voir si certaines configurations spécifiques de l’espace bâti comme la forme « venturi » pourraient porter préjudice au confort aéraulique au niveau piéton. - En deuxième lieu, et via l’outil d’enquête, nous avons cherché à vérifier si dans la perception et l’évaluation d’un espace soumis à des anomalies aérauliques (effets aérodynamiques), les paramètres microclimatiques en générale sont évoqués ? Et si des nuisances aérauliques sont ressenties ? Par la suite nous avons tenté d’estimer si les conditions aérauliques peuvent être par moment limitant à l’usage de l’espace et à sa fréquentation. | |
dc.identifier.uri | https://dspace.epau.edu.dz/handle/123456789/186 | |
dc.language.iso | fr | |
dc.publisher | Epau | |
dc.subject | Effet venturi | |
dc.subject | espace public extérieur | |
dc.subject | inconfort aéraulique | |
dc.subject | vent urbain | |
dc.subject | forme urbaine | |
dc.title | Evaluation du degré d’inconfort dans les espaces publics extérieurs soumis aux effets aérodynamiques des bâtiments. | |
dc.title.alternative | Cas d’étude : la cité CNEP 800 logements de Bouzareah à Alger | |
dc.type | Thesis |